Articles littéraires (romans, nouvelles, poésies, essais, sciences humaines) ) politiques et syndicaux
Publié le 1 Mars 2000 par Bernard Giusti dans bernardgiusti, Critiques, Anthropologie
Publié le 2 Février 2000 par Bernard Giusti dans Essais, bernardgiusti, Ma bibliothèque, sciences humaines
Notes de recherche
Approche Psychanalytique des œuvres d’art, Chemins de Travers-Hors-Série n°1, L'Ours Blanc, 2000 - épuisé
Publié le 16 Janvier 2000 par Bernard Giusti dans Poésie, bernardgiusti, Ma bibliothèque
“ … Quête de la femme et de son mystère, soif ardente du désir, sensation de l’inaccessible… et beaucoup de tendresse dans ces mots rythmés, dont crtains sont appelés à être chantés (c’est d’ailleurs fait par l’entremise de Lydie Le Gal). Cela ne nous étonne pas, car il y a de la musique, de la mélodie dans l’écriture de Bernard Giusti. Les Ailes est un livre à avoir sur soi, pour le lire par instant, pour goûter pleinement un de ses instants à lui, un ou deux poèmes pas plus, pour s’en imprégner et s’évader dans ces images qui naissent spontanément d’un univers prenant et des atmosphères qui en découlent. Il faut se laisser porter par le texte, le vocabulaire est riche de sensations, de sentiments — il a le goût de la peinture ! Et souffle un vent rafraîchissant dans l’esprit.
A noter également les très belles illustrations faites par l’auteur lui-même. ”
Eric Tessier, in Revue “ La Nef des Fous ” n°9, deuxième semestre 2001
Publié le 11 Juillet 1995 par Bernard Giusti dans Essais, bernardgiusti, sciences humaines
Publié le 31 Octobre 1993 par Bernard Giusti dans Poésie, Peinture et dessins, Ma bibliothèque, bernardgiusti
Villon, Œuvres - Dubout - Ed. Michèle Trinckvel - 1993
L'association entre la truculence du dessinateur Albert Dubout (1905-1976) et la poésie de Villon le coquillard est ce qu'on peut appeler sans conteste un mariage heureux. Tous deux ont largement tiré leur inspiration des cabarets, François Villon parce qu'il les fréquentait assidûment, Albert Dubout parce que de toute évidence il a hérité de l'esprit des chansonniers. Chacun à leur manière avaient le langage du peuple de leur temps, Villon par les mots, Dubout par les dessins. Et au-delà des mots et des dessins, leur œuvre est sans cesse sous-tendue par la lucidité d'un regard porté sur les "frères humains" qui oscille entre la dérision et le désespoir.
BG
Publié le 3 Août 1991 par Bernard Giusti dans bernardgiusti, Sur la route...